Philippe Coudray, né à Talence près de Bordeaux en 1960.
Il est le frère jumeau de Jean-Luc Coudray, avec qui il co-signe certains albums. Tout les deux, ils démarrent leur activité artistique en 1977, après un baccalauréat. Philippe Coudray débute en dessinant des oiseaux dans des revues.
En 1979 et en 1981, il reçoit le Prix de l’IDEE au Festival International du Dessin d’Humour d’Anglet. Puis la revue Amis Coop lui demande de crée un personnage. Il choisit un ours. C’est ainsi qu’est né l’Ours Barnabé. Après une dizaine d’année de publication dans les revues, il commence dans l’Édition.
En 1990, il est nominé dans la catégorie Alph’Art, Meilleur Album humour, à Angoulême avec son album L’Ours Barnabé 1. Puis en 1992, la même série L’Ours Barnabé 3 reçoit le Prix RTL Enfant.
Parallèlement, il s’intéresse à l’image en relief, au dessin stéréoscopique dont il publie quelques œuvres.
Philippe Coudray touche également à la peinture qu’il expose dans sa ville natale.
En 2003, ses œuvres sont sélectionnés pour la promotion de livres de Jeunesse par la Fnac et pour la lutte contre l’illettrisme en France par le Ministre de la Jeunesse et des Sports.
Aujourd’hui on peut retrouver son travail dans la revue Psikopat et Capsule Cosmique.
A ses débuts, Philippe Coudray voulait se démarquer de son jumeau Jean-Luc Coudray. Jean-Luc Coudray s’occupe de l’écriture tandis que Philippe Coudray s’intéresse au dessin. Philippe Coudray préfère la synthèse rapide que la narration. C’est-à-dire qu’il crée des planches qui sont composée de gags en une seule page. Pour lui le principe d’une image est perçue dans l’immédiateté. Il faut percevoir en un seul mouvement la complexité d’une image grâce à notre faculté de l’esprit. Pour Philippe Coudray, un gag court en une seule page à le même effet qu’une peinture mais en utilisant un procédé différent. D’ailleurs, pour lui, la BD et la peinture sont complémentaire. Ses BD
Ces peintures sont des peintures à l’huile sur toile sur des formes de 15 ou 20 figures. L’artiste, quant il peint, n’a aucun plan, aucune élaboration calculée. Il peint à plat et juxtapose les morceaux. Pour lui, a tout moment la peinture doit être achevée.Ses peintures
Philippe Coudray a travaillé sur la mise en anaglyphe d’une image c’est-à-dire qu’en superposant les deux images, l’une en rouge, l’autre en bleu, on peut voir une image grâce à des lunettes rouges et bleues. Par sa pratique, Philippe Coudray voulait voir des choses que l’on ne voit jamais avec ses yeux. C’est-à-dire voir en relief des images macro comme une fleur, un insecte, un acarien,… Ses Anaglyphes
La cryptozoologie est un recueil décrivant des animaux encore non découverts par la science. Philippe Coudray s’est intéressé et a crée une rubrique cryptozoologique mensuelle dans la revue Capsule Cosmique. Il dessine les animaux dont il ne connaît qu’une description. Il joue alors entre le dessin d’après modèle et le dessin d’imagination.Quelques dessins
Depuis 2002, Philippe Coudray peint à l’aquarelle. Il peint sur sujets réels (des montagnes). Mais plus tard, il se rend compte qu’il préfère faire des aquarelles juste en utilisant sa mémoire.Ses aquarelles
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Ses oeuvres cryptos
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Le proboscidien inconnu
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Le tatzelwurm ou ver à pattes
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Le félin à dents en sabre
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Le bigfoot ou sasquatch
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Le mokele-mbembe
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Le grand yeti
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Le petit yeti
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Le bunyip
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Le petit éléphant poilu du Zaïre
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Le petit yeti (bis)
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Le kakundakari
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Le thylacine
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L'ours Nandi
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Le grand pingouin
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Le kongamato
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Le mngwa
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L'agogwe ou nain velu du Mozambique
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L'orang-pendek
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